Véritable hymne à la culture asiatique à Laeken, près de Bruxelles, où se trouve un pavillon chinois. Erigé entre 1901 et 1909 à l'instigation de Léopold II qui était un grand amateur d'art oriental; ce pavillon a été dessiné par l'architecte parisien Alexandre Marcel.
Ce pavillon est recouvert de boiseries réalisées à Shanghai. Il est richement décoré grâce à la collaboration de J. Galland (revêtements polychromes en pâte de verre) et d'E. Muller (grès flammé). Le gracieux édifice sert d'écrin à une collection de porcelaines sino-japonaises, de tableaux européens et de mobilier chinois.
Juste à côté se trouve un kiosque où les boiseries ont également été réalisées à Shanghai.
Une galerie-tunnel creusée sous l'Avenue J.Van Praet relie le pavillon chinois à une tour japonaise. Cette tour est également l'œuvre de l'architecte Alexandre Marcel. Pour donner un cachet d'authenticité à la cette tour, l'architecte a intégré plusieurs éléments fabriqués directement au Japon à Yokohama.
Le pavillon d'entrée de la tour japonaise correspond au porche réédifié du "Tour du monde" de l'Exposition universelle de Paris en 1900, réalisé aussi par Alexandre Marcel, puis racheté par Léopold II.
La Tour japonaise fut inaugurée en 1905. L'État, qui les reçut en héritage, allait, en 1921, en confier la gestion à l'institution appelée aujourd'hui Musées royaux d'Art et d'Histoire.
Aujourd'hui, la Tour japonaise présente des porcelaines décoratives réalisées pour l'Europe entre le milieu du XVIIe siècle et le milieu du XVIIIe, de même que des articles d'art décoratif japonais tant admirés aux Expositions universelles, dans la seconde moitié du XIXe siècle et au début du XXe.
En raison de leur caractère particulier, ces bâtiments témoignent donc des rapports économico-culturels du XXe siècle débutant entre l'Europe et l'Extrême-Orient.
Quelle surprise de découvrir ces élégantes constructions asiatiques qui offrant un véritable dépaysement en plein Bruxelles.
Ce pavillon est recouvert de boiseries réalisées à Shanghai. Il est richement décoré grâce à la collaboration de J. Galland (revêtements polychromes en pâte de verre) et d'E. Muller (grès flammé). Le gracieux édifice sert d'écrin à une collection de porcelaines sino-japonaises, de tableaux européens et de mobilier chinois.
Juste à côté se trouve un kiosque où les boiseries ont également été réalisées à Shanghai.
Une galerie-tunnel creusée sous l'Avenue J.Van Praet relie le pavillon chinois à une tour japonaise. Cette tour est également l'œuvre de l'architecte Alexandre Marcel. Pour donner un cachet d'authenticité à la cette tour, l'architecte a intégré plusieurs éléments fabriqués directement au Japon à Yokohama.
Le pavillon d'entrée de la tour japonaise correspond au porche réédifié du "Tour du monde" de l'Exposition universelle de Paris en 1900, réalisé aussi par Alexandre Marcel, puis racheté par Léopold II.
La Tour japonaise fut inaugurée en 1905. L'État, qui les reçut en héritage, allait, en 1921, en confier la gestion à l'institution appelée aujourd'hui Musées royaux d'Art et d'Histoire.
Aujourd'hui, la Tour japonaise présente des porcelaines décoratives réalisées pour l'Europe entre le milieu du XVIIe siècle et le milieu du XVIIIe, de même que des articles d'art décoratif japonais tant admirés aux Expositions universelles, dans la seconde moitié du XIXe siècle et au début du XXe.
En raison de leur caractère particulier, ces bâtiments témoignent donc des rapports économico-culturels du XXe siècle débutant entre l'Europe et l'Extrême-Orient.
Quelle surprise de découvrir ces élégantes constructions asiatiques qui offrant un véritable dépaysement en plein Bruxelles.
1 commentaire:
Salut,
jai mis a jour mon blog roll, sur ma page d'accueil. marketing chine
Bonnes vacances a vous!
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